let me be your shelter.

jezebel « jazy » copeland

hunting things

nom : COPELAND. Patronyme qui se fond dans la masse, on ne fait pas attention aux syllabes et aux individus qui le portent avec aucune fierté particulière. Mais, votre famille, elle a écrit des livres fantastiques, du genre horreur, n'est-ce pas ? Nom de famille qui n'est sien que parce qu'on a voulu que ce soit ainsi, la vérité que l'on ne connaît pas et que l'on ne connaîtra jamais pour la jeune femme. A toujours été considérée comme une membre de la lignée, bien que les regards d'autres branches soient parfois plus mitigés. prénom : JEZEBEL. Personnage tiré de la Bible, princesse puis reine, la manipulatrice aux doigts rusés, la persécutrice qui hante et engendre les maux insoutenables. Visage doux, traits fins et accueillants, dévoreuse des âmes sous sa figure bienveillante, illusions et faux semblants, personnalité décalée qui dissimule sa nature tyrannique. date et lieu de naissance : INCONNUS. Peut-être une semaine avant, deux semaines. Sur les papiers, c'est le QUINZE JANVIER qui est inscrit, avec la ville de MONTRÉAL. âge : VINGT-CINQ ANS. On hurle à la folie, à ce temps qui file entre des doigts qui n'arrivent plus à mesurer ces années à vivre. Peut-être lui reste elle moins d'un an à vivre, peut-être quelques mois qu'elle ne compte plus. statut civil : CÉLIBATAIRE. C'est volontaire. Elle ne veut pas s'attacher quand bien même les sentiments frappent contre le cœur mort. origines : INCONNUES. Elle ne sait pas. N'a pas cherché à en savoir plus. Ne veut pas en savoir plus. Si on l'a abandonné, c'est qu'une bonne raison doit justifier l'acte. La curiosité ne l'a jamais animé, elle s'est certes posée des questions, mais n'a jamais pensé à sérieusement effectuer des recherches. nationalité : CANADIENNE. C'est donné dès la naissance pour ceux qui y respirent leur première bouffée d'air. Elle, elle l'a eu par le biais de son patronyme. Par l'adoption, par le foyer qui lui a été donné après six mois dans un orphelinat. emploi : GARAGISTE. La passion de la carrosserie, de l'odeur d'une essence qui coule dans les tuyaux. Travailler, en sortir les mains salies par les crasses que peuvent ramener la profession. Elle a l'impression d'être utile, de servir à quelque chose quand elle observe en fin de journée que son accoutrement est foutu. CHASSEUSE. Ça coule dans le sang, comme diraient certains de sa famille qui oublient que ses gênes sont différents. Ils se rattrapent alors, c'est l'éducation qui veut ça. Son existence, basée sur la course, la fuite, la tuerie. N'a jamais aimé le travail mal fait. A longtemps crû que les monstres étaient ceux que l'on craignait à cause de leur forme, ceux que l'on dit wendigos, a finalement compris qu'elle était l'abomination. orientation sexuelle : BISEXUELLE. On se découvre encore. Le corps qui cherche la préférence, celle-ci qui va pour les hommes. Mais courbures qui se laissent abandonner dans des bras plus féminins quand l'alcool prend le contrôle. groupe: FIRE AND FURY. crédits : tumblr.

(001), CLASSIC ROCK. Le rythme, les mélodies que l'on a tous entendu au moins une fois dans son existence grâce à l'ascendance. C'est simplement son genre musical préféré, celui qu'elle écoute lorsqu'elle travaille, celui qui résonne hors de l'établissement Walker Cars quand elle s'y trouve, celui qui gêne les voisins quand elle retrouve le confort de son appartement. (002), HARLEY DAVIDSON. La marque de sa moto. Ancienne moto. Elle a eu un accident il y a quelques mois, tragédie qui lui a coûté les maigres souvenirs qu'elle a pu avoir durant ses vingt dernières années. (003), INCONSCIENCE. Elle agit. Ne réfléchit plus. La vie est si cruelle, elle nous prend au dépourvu quand on la caresse dans le sens du poil. On fait ce que l'on a à faire. On a changé, depuis les derniers mois. Elle a changé. Elle ne voit plus le monde de la même façon. Est devenue ce qu'elle chassait. Est devenue le monstre. (004), YOU GIVE LOVE A BAD NAME. Le cœur fonctionne à son propre gré. Il fait ce qu'il veut, quand il veut. On l'arrache, on le poignarde, on fait en sorte que les cicatrices soient si profondes qu'on ne souhaite plus goûter aux saveurs de l'amour et de l'affection. (005), WHERE AM I ? Première phrase prononcée dès lors qu'elle s'est réveillée. On l'observe, on l'analyse, on fait des radiologies et des interrogatoires. Elle ne sait plus vraiment, a oublié certains visages, certaines habitudes, des mémoires qui s'effacent et qu'elle ne retrouvera peut-être jamais, d'après les spécialistes. (006), STREET FIGHTER. Les poings se serrent. Caïd qui n'oublie pas comment se servir des coups, les pieds qui s'écrasent contre les corps. Elle a toujours été bagarreuse, on lui a dit. Et elle s'en rappelle vaguement. Elle connaît les gestes. Elle sait se défendre. Mémoire des mouvements qui n'a pas déserté. Les ruelles sombres qu'on côtoie, le sourire carnassier qui ne demande qu'à voir couler le carmin des proies. (007), SUCH AN ACTRESS. Un rien l'énerve. La fait sourire. La fait rire. La fait pleurer. Les émotions spontanées qui s'extériorisent, n'est absolument pas secrète sur le plan sentimental. Quand ça ne lui plaît pas, on voit les traits qui se durcissent. Quand elle veut s'esclaffer, elle n'hésite pas à rire jusqu'aux larmes. Émotive, sensible, certainement ce point faible qu'elle aimerait parfois dissimuler. (008), SHOT THROUGH THE HEART. Et c'est quand les choses deviennent un peu trop sérieuses à son goût qu'elle coupe les ponts. On ne peut pas s'attacher, qu'on lui a longtemps dit. Les autres, ceux qui ne sont pas de la famille, on les ignore. Ils ne sont que pantins, qu'ignares dans la foule dans laquelle elle se fond. On préfère jouer des corps. Néanmoins, certains se perdent dans les yeux clairs de la femme, en oublient que l'âme n'est plus ou ne l'ont peut-être jamais su. S'attachent. Mais est toujours là, elle, pour dénouer le nœud. (009), MOVIES. L'imitatrice. Celle qui vous énoncera des citations de films ou séries cultes. Celle qui jouera de l'accent des acteurs et des personnages joués pour que l'imitation n'en soit que plus parfaite. (010), SEARCH ME, I'LL FIND YOU. Elle entend. Note. Tout. Elle retient, elle n'oublie pas. Elle est si attentive alors qu'on la croit perdu dans ses pensées. Elle a l'impression de faire partie de ces femmes qui se réunissent en petit comité dans les jardins d'enfants afin de déblatérer des ragots et informations peu fiables.

≡ avis sur les légendes
On y croit, dur comme fer. On a été élevé par les histoires et contes que beaucoup ne peuvent pas concevoir. Nombreux sont ceux qui crient à la fiction, à l'imagination d'un créateur qui ne voulait que happer l'attention des lecteurs. Pourtant, elles sont vraies et quand bien même certains demandent des preuves irréfutables quant aux soit disant fabulations, certains continueront à avoir cet esprit, cette essence qui leur dira sans cesse que cela ne peut pas être réel. Comme une barrière que l'on s'oblige à placer, comme la limite entre la créativité, l'artificiel et ce qu'ils considèrent de véritable. Jazy, elle ne peut que gober les légendes. Sa lignée en a été victime. Elle sait. Elle sait, et elle garde les yeux ouverts, traque les créatures. Les tuer ? Évidemment. Mais le danger, c'est si bon. L'aventure, la fuite, l'emprisonnement, la torture sur les hommes dont la nature animale a pris le dessus.

Que pensez vous de l'infection lupine ?

Le Mal des Ténèbres. Sourire qu'elle fend sur ce faciès noirci par le cambouis. Quand elle y pense, le Mal n'est pas si fatal. L'infection ne tue pas. Autrefois, avant cet accident qui l'a quelque peu transformé, elle n'aurait jamais pu défendre cette cause. N'aurait jamais pu penser qu'une atrocité immonde, elle puisse presque l'envier. Ce besoin de nouveau. Ce besoin de se savoir presque invulnérable. Trop de curiosité. Elle a toujours aimé expérimenter. A toujours voulu se jeter la tête la première dans l'inédit. Ne peut se résoudre à une telle monstruosité, même si parfois, l'inconscient prend le contrôle. Le regard qui croise le monstre, les flammes qu'elle écarte. Prends moi, qu'elle pense si fort que l'on sait ce qu'elle souhaite entreprendre. Les frères l'éloignent. Ils terminent le travail. La grondent. Lui rappellent les désavantages, la faim, la vision floutée. Mais les blessures, elles seront moins graves. qu'elle dit innocemment. Les cicatrices sur le corps. Les nombreux traits dans son dos, la marque d'une enfance que trop violente. L'infection, son avis, il reste mitigé. C'est pas si grave, qu'elle se met à penser. Ils ne meurent pas. Vivent. Différemment.

spf - ruth - twenty

ft. chloe bennet - personnage inventé

fréquence de connexion : tous les jours, mais ça ne veut pas dire que je rp chaque fois. pays : france. avis sur le forum : dvdjfgfg langage codé. avez vous des suggestions : aucune, voyons. comment l'avez vous connu : mon ami bazzart. dernier mot : aos vaincra. yay

the warriors that built this town.

and blood i should drink, the crimson on my hands makes me stronger

« Je ne sais plus. » On la toise. Pour eux, ça semble si étrange, qu'elle ait oublié des moments clés de son existence. Pour eux, le fait que sa mémoire ait été effacée par une tragédie survenue sur la route n'est pas concevable. Comment peut-elle ne plus se souvenir des anecdotes marquantes, des rires et pleurs, des traumatismes et des instants plus calmes ? « Jezebel. Copeland. » On acquiesce, on sait qu'elle se souvient de son identité. Du moins, de celle qui lui a été donnée après adoption. « Garagiste. » Et chasseuse. Elle lâche un soupir qui en dit long, déglutit alors que les regards se posent sur son faciès qui ne montre que cet air blasé et indifférent. Elle se demande quand est-ce qu'on la laissera sortir, elle se demande comment elle pourrait rester entre ces quatre murs blancs une seconde plus. Dans le couloir, on entend le grabuge et elle ne peut s'empêcher de tourner sa tête vers la porte fermée de sa chambre. Elle ne sait pas. Que le vacarme la concerne. Elle ne sait pas que dans quelques instants, c'est la culpabilité qui rongera sa conscience et cette part de lucidité qu'il lui reste. La porte s'ouvre, elle claque contre le mur, chacun sursaute. « C'est de ta faute ! » qu'il gueule, la mine dépitée face à celle qui arque un sourcil des plus inquisiteurs. Elle n'a pas le temps d'articuler le moindre mot, la sécurité embarque celui que l'on trouve agité, la porte se referme et la voilà revenue dans le petit comité. Elle hésite, se ronge de l'intérieur. Peut-être ne veut-elle pas savoir ce que tout cela signifie. Peut-être qu'elle préfèrerait rester dans l'ignorance après avoir entendu une explication plausible. « C'est qui, lui ? » qu'elle questionne, le bras qui se tend vers la porte d'entrée pour désigner celui qui avait décidé de rompre le silence dans une cacophonie monstre. Le frère de la victime. Les mots se heurtent, cognent la carcasse vivante mais qui se sent des plus inanimées. Victime ? Elle ne se souvient pas. Que le carmin qui coule, des lampadaires qui éclairent ses iris, prunelles qui se ferment instantanément et réveil dans l'hôpital du coin.

« Je... » Elle ne termine pas sa phrase, on l'en empêche. Elle ne dit rien, ne peut rien dire. Elle est si petite, face à la figure qui la regarde, celle qui toise de haut en bas, le dégoût sur les traits, l'amertume dans les mots. « Dégage, bon sang. » Mais je suis désolée, qu'elle a envie de dire. Elle se résigne, s'en va. C'est vain, de vouloir continuer à montrer l'innocence ou la culpabilité. C'est vain de vouloir se faire pardonner par un que l'on ne connaît pas. Et pourtant, elle continue. Malgré les bras baissés, elle revient, dès qu'elle en a l'occasion. Peut-être qu'un jour, il l'écoutera. Peut-être qu'un jour, on lui pardonnera, quand bien même on n'a cessé de lui répéter qu'elle n'y était pour rien. Ce n'est pas de sa faute, à Jezebel. Ce n'est pas de sa faute et pourtant, elle ressent le besoin d'expier ce péché. La mort qu'elle suit, la faucheuse qu'elle brandit, elle a pourtant l'habitude de tuer. C'est si simple de couper les souffles, de les voir s'arrêter, de voir les flammes qui entourent. Jezebel, elle se souvient. Des flashs qui reviennent, de l'humain avec qui elle a eu un accident. Moto contre moto, dans un carrefour. Elle se souvient et pourtant, elle ne ressent aucune honte. Aucun remord. Se faire pardonner, ce n'est pas parce qu'elle se sent réellement coupable. Elle a peur de l'après. Jezebel, elle est croyante. Si les monstres existent, les protecteurs aussi. Les anges. Dieu, même si elle ne l'appelle pas ainsi. Elle ne l'appelle pas, d'ailleurs. Aucun nom. Jezebel, elle a besoin du pardon, du salut. Parce qu'elle craint de se retrouver, plus tard, entourée de flammes. Flamboyantes, ardentes. Celles de l'Enfer.

≡ avatar : · **≡ inscrit le :** 24/10/2015

Coucou ! Bienvenue sur le fofo ! Bonne chance pour ta fiche red

Pour ma part, je trouve les deux super belles mais au niveau du charisme je préfère Chloe en ce qui me concerne (vive le cast d'AOS ! xD)

Si tu as des questions ou d'autres hésitations, n’hésite pas

≡ avatar : · **≡ inscrit le :** 24/10/2015

CHLOE BENNET CHLOE BENNET red

FAUT REJOINDRE LE CAST AOS huhu

puis ouech, avec chloe un lien s'impose cute

(jdis pas non avec les autres non plus cela dit mdr

)
Bienvenue sur le forum luv

bonne chance pour ta fiche, si tu as des questions, n'hésite pas puppy

Vous m'incitez. Viles créatures. Je vais prendre Chloe Bennet alors, remplir rapido la dernière partie de la fiche et... Aller me la réserver avant qu'elle ne tombe entre de mauvaises mains. hehe

En tout cas, merci beaucoup à vous deux et étrangement, votre choix sur Bennet ne m'étonne pas yay

≡ avatar : · **≡ inscrit le :** 26/10/2015

Tout est parfait miss ! Je valide calinou

félicitations, tu es validé(e) !

t'es trop swag kikou lol, tmtc bg !

High five gros, t'es officiellement validé(e) sur OTD ! C'est la classe,du coup, je te donne un premier conseil de survie :don't fucking move ! et puis si rien qu'en regardant le gif t'es complètement paralysé, c'est normal, c'est stressant quoi yay

Pour commencer tu peux aller vérifier dans le bottin des avatars, si on a pas oublié de rajouter ton avatar, si jamais c'est le cas, n'hésite pas à le signaler qu'on puisse régler ça au plus vite. Ensuite, les listings, si tu veux une maison passe chez notre agent immobilier et si tu as un job, tu peux le recenser par là.

Ensuite, si tu veux chercher des liens, c'est ici que ça se passe, faire une fiche de liens et passer dans celles des autres est essentiel pour l'intégration. Et puis, si tu veux un partenaire de rp, tu peux aller chercher dans ce sujet. Tu peux également faire un scénario par là en respectant le modèle et les règles, ça va sans dire. Le plus intéressant pour la fin, tu peux également venir flooder avec nous en faisant un tour ici ! N'hésite pas non plus à poster dans la fiche bazzart, un petit mot, ça fait toujours plaisir

Sur cette avalanche de liens, nous te souhaitons encore une fois la bienvenue parmi nous et sache qu'on t'aime déjà fort loove

du coup, deuxième coseil de survie shoot pas les serrures c'est pas discret

et encore moins juste après avoir renversé un bidon d'essence euh

VOILA ! Maintenant, à toi de jouer mon petit red