AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Fnac : 2 Funko Pop achetées : le 3ème offert (large sélection de ...
Voir le deal

Partagez | 
 

 CAPITULATION. (BV)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité
MessageSujet: CAPITULATION. (BV)   CAPITULATION. (BV) Icon_minitimeJeu 29 Oct - 8:39

braam ekrem vostrikov
citation de votre choix ici, blablabla.
nom : un murmure qui résonne au creux de ses reins, l'intense vide qui devient néant en son cœur malade. comme un hurlement dans la nuit, un chuchotement désespéré. comme un appel à l'aide pour les vostrikov, mais ce sang qui ne veut pas de lui. comme un cri que l'on étouffe, un souffle coincé au fond de la gorge. comme quelque chose que l'on cache, que l'on retient pour garder le monde empli de faux-semblants. à danser sur la mascarade des siens, la solitude qui rempli les cœurs vides. . prénom : celui qui se consume honteusement dans la pénombre, à brûler d'impatience à la vision d'un corps sombre. comme l'éternel pécheur qui fait la honte de son sang. celui qui se cache, qui joue le jeu des siens, à accrocher un masque sur son visage trop pâle, son regard trop ancré ailleurs. abraham, braam, le malheureux qui attend la nuit pour recracher son plaisir enfui, le coupable désir qui l'étouffe au fil des jours. date et lieu de naissance : les souvenirs qui le hantent, le torturent, l'abîment comme son corps qui se lasse de cette vie. la vie passée au pays lointain de la russie, depuis 1986. le dégout de cette routine qui l'ennuie, qui l'éteint, qui le fatigue. et toujours cette intense brûlure au creux de son torse, prés de ses reins. le besoin de goûter au renouveau. âge : les années qui marquent ses traits, se tassent sur son visage empli d'amertume, ces vingt-neuf années à assassiner  et à hurler aux désirs de son corps malade. statut civil : écrire ici. origines : il y avait le pays d'antan, les beaux paysages d'europe, la russie qui défilait devant les yeux de ses ancêtres. et l'espoir de terres nouvelles, le pays des promesses et ses grands rêves d'enfants, là où on apprend que l'impossible le reste. là où les désirs consument les hommes.  nationalité : le sang qui coule de son pays natal, de la russie pour laquelle il survit vainement, comme un cœur ouvert. comme un cœur qui saigne. ce mal du pays qui le ronge, qui le consume, qui l'assassine jusqu'à en hanter ses songes. emploi : les mains frêles, le cœur sale, l'esprit est vidé de tout envie, de tout besoin. celui qui ne fait rien, les bras croisés au milieu de ces immenses forêts, à assassiner la nature avec cette hache qu'il traîne derrière lui comme un poids sur son corps de bûcheron. orientation sexuelle : les jolies courbes des demoiselles, avec leurs regards innocents et leurs longs cheveux dorés. un ange tombé du ciel, qui s'accroche à cet horrible démon qui le ronge, lui, le vilain. groupe: survivor guilt. les frissons qui se glissent sur sa peau pâle, le souffle court et l'étrange mélodie qui résonne en son sein. comme un orchestre malsain qui s'agite au creux de de son échine, comme une faim qui le ronge jusqu'à la moelle. crédits : tumblr.

(001), vilain pécheur qui se brûle de désires, un malheureux qui se consume à l'idée de plonger son regard dans une créature exquise. laissée intacte par la vie, et lui, le pourri qui est rongé jusqu'à l'os. (002), comme emprisonné par son propre sang, le malheureux destiné à errer entre les planches de bois et les bras sales de son rang. (003), il y a ce monde auquel il aimerait goûter, cette vie qu'il aimerait consommer comme cette faim qui le consume, mais il y a ses mains liées, le cœur figé. (004), et cette haine envers les créatures, ce besoin d'anéantir en ce monde ce qui nuit aux mille et une merveilles de la nature. cette haine qui ronge ses os et nourrit son âme d'un liquide noirâtre. (005), le mal qui le consume petit à petit, la peur de se faire prendre qui hante ses pensées et son esprit de malade. les murs qui se rétrécissent devant ses yeux morts tandis que reste cloîtré son corps. (006), ses sœurs, ces folles à lier, qui emplissent son cœur d'un sentiment noir et profond. d'une haine qu'il réfrène par un amour inouïe envers son sang. comme un rancœur envers les sœurs qu'il se cache d'avouer. (007), et leurs lèves qui se posent sur les siennes, ce monde extérieur qu'il rêve d'embrasser, mais seulement le contact, cet horrible et étrange contact, avec son propre sang. avec ses propres sœurs. comme un fou qui se ronge, comme un corps qui plonge, il sombre dans les ténèbres des draps de soie, avec à ses côtés, les doux corps des sœurs. (008), cette solitude qui nourrit cette folie furieuse, cette peur du monde, qu'il ne connaît pas, qu'il méprise et admire avec autant de haine que d'amour. la crainte de finir tout seul au milieu des arbres, la crainte de finir seul et en perdre son âme. le souffle chaud des sœurs, juste au creux de sa nuque, qui le rassure. comme un retour sur sa terre natale.  (009), et encore et toujours cette peur qui le ronge. la peur de la solitude. la peur du changement. la peur de l'inconnu. la peur de mourir. la peur de se faire prendre la main dans le sac. la peur des baisers. la peur de les sentir au creux des reins. la peur du bitume. la peur des inconnus. la peur de lui. (010), et cette sensation de crainte, de perte, qui l'anime dès qu'il s'éloigne de ce vieux chalet où il vit. cette sensation de chute qui l'attriste dès qu'il s'éloigne de ses vieilles plaies, pour qui il vit.



≡ avis sur les légendes
Ces mots qui animent son être frêle, qui agitent ses pensées et son esprit fragile. Ces maux qui le consument, lui, la pauvre âme en quête de lumière. Ces légendes qu'il côtoie depuis que ses pas ont foulé cette terre vaine. Cette crainte qui hante son cœur depuis son arrivée. Ses images, emplies de créatures, de visions d'horreur de sang qui jaillirent de ces récits. Cette étrange et infâme orchestre qui résonne dans son torse, à l'idée de devenir la pâleur, de devenir l'écarlate, de devenir l'Autre. Cette crainte à l'idée de voir l'inconnu, d'y sombrer et de frôler d'une infime crasse la triste réalité de ce monde. Ces légendes qu'il côtoie, ce en quoi il croit fermement. Cette peur, cette crainte, cette faim qui le consument à l'image de ces maux qui le brûlent.  

Que pensez vous de l'infection lupine ?
Ce mal qui se glisse sur cette terre vaine et s'immisce au travers des veines. Ce mal qui ronge les os et plonge les morts dans un éternel oubli. Comme un murmure qui frissonne sur les nuques, une douce caresse sur les peaux frêles des demoiselles et une morsure au creux des reins. Un mal qu'il faut éradiquer, une crainte qu'il faut supprimer. Une maladie qui se propage au-delà de l'horizon. Les cris qui périssent dans la nuit noire et l'ombre qui se nourrit sur les trottoirs. Les maux qui se faufilent de lèvres en lèvres, de corps en corps et serrent l'étau. Les mains qui caressent les cous, les serrent et les brisent d'une moue. Comme tombent les corps mous, comme glissent les sourires propices à la nuit. Comme gît la maladie des cadavres malades.


the road - vanessa - dix-neuf ans
ft. gaspard ulliel - personnage inventé.

fréquence de connexion : sept jours sur sept pays : france. avis sur le forum : une merveille. avez vous des suggestions : aucune pour le moment. comment l'avez vous connu : via bazzart. dernier mot : vous nous pondez toujours de sublimes univers c'est impossible de vous résister


Dernière édition par Braam Vostrikov le Jeu 29 Oct - 14:34, édité 5 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
MessageSujet: Re: CAPITULATION. (BV)   CAPITULATION. (BV) Icon_minitimeJeu 29 Oct - 8:39

the warriors that built this town.
une petite citation de votre choix ici.
Il y avait ces étranges lueurs qui scintillaient sur les murs de bois. Ces lumières qui dansaient au travers la pièce et ricochaient contre les vieux meubles. Il y avait ce mince filet de poussières, comme une tornade qui s'évadait au-delà de la pénombre. Comme un papillon qui cherchait à fuir l'horizon, à percer l'autre-monde. Il y avait comme une étrange odeur qui s'émanait de la pièce. Comme un étrange parfum d'amertume, qui s'échappait des lieux. Comme une étrange sensation de déjà-vu. Une pièce macabre, une comédie sanglante qui se répétait à chaque lune. Comme la nuit qui ouvrait les rideaux ; ces sombres rideaux écarlates qui laissaient apparaître l'infâme mascarade d'une vie perdue. D'une vie passée à mimer, à jouer, à réciter les belles paroles d'une mère. D'une vie passée inanimé, à sangler les mains, à  sangloter dans un coin. D'une vie passée dans l'ombre de ce feu de bois, d'une vie passée à errer entre les murs de ce vieux chalet en bois.
Et il y avait ces étranges lueurs qui scintillaient sur les murs ; ces mêmes lueurs qui agitaient son cœur mort. Le regard rivé au plafond, comme implorant le Ciel de le pardonner. De faire cesser ces infâmes douleurs, ce supplice qu'était cette vie de cloîtré. Destiné à errer entre ces quatre murs, comme ce filet de poussière à jamais pris au piège. Comme ce papillon à jamais enfermé dans ce vieux bocal en verre. Comme une vie éphémère, à passer prisonnier de son propre sang. Piégé sous les mains de ces infâmes créatures, qu'étaient les sœurs. « Le monde est trop laid pour toi, Abraham. » qu'elles disaient sans cesse. Le monde était trop laid pour lui, c'était vrai. Lui, comme un ange blessé tombé des cieux. Comme une sublime créature, ancrée aux flammes de l'Enfer. Piégé entre les mains douces de son prédateur. Piégé entre les caresses sourds de son ravisseur. Son propre sang, l'enfant que la vie assassine. Que la vie chagrine, que les coups guérissent. « C'est pour ton bien. » qu'elles disaient sans cesse. Comme une promesse de l'ombre, comme une parole bien sombre. Il était le danseur masqué de cette valse insensée. Le pantin désarticulé de ses sœurs marionnettistes. Lui, le fragile. Le frêle. Le désincarné. Le pauvre enfant que l'on couve, que l'on recouvre, que l'on cache et s'arrache. Le pauvre enfant que tout le monde veut, que personne n'a. L'enfant parfait, obéissant, attendrissant, attachant. Le pauvre enfant attaché. Les mains liées, les mains sales. Celui qui n'a jamais découvert le monde dans lequel il vit. « C'est pour ton bien, bon sang. » qu'elles disaient sans cesse. Parce qu'au-delà de la forêt, plus près de la ville, il y avait les autres. Les autres et ce monde indigne, ce monde imbu, ce monde infâme. « Ce monde qui ne te mérite pas. » qu'elles disaient sans cesse. Ce monde trop laid pour un si joli garçon, pour un si bel homme qui grandissait, qui désirait, qui nourrissait et attirait. Un si bel homme qui s'ennuyait, qui se mourait de cette éternelle solitude qui planait au-dessus de son visage d'ange. Un homme qui ne connaissait que le réconfort des doux bras des sœurs, de leurs douces caresses et de leurs jolies paroles. Un homme qui ne vivait que pour les siennes, qui en avait fait la promesse à sa mère. Les liens du sang qui parcouraient ses veines et frôler sa moelle, qui marquaient chaque parcelle de sa peau. « Le sang avant tout. » qu'elles disaient sans cesse. C'était la promesse éternelle d'un avenir radieux, unis sous les lueurs des flammes.
Car il y avait encore et toujours ces lueurs scintillantes qui dansaient sur les murs de cette vieille cabane de bois. Cette cabane qui les abritait depuis la nuit des temps, depuis la perte de la mère. Qui abritait cette fratrie unie par le sang, par l'amour d'antan. Et ces lueurs qui, de temps à autre, révélaient les sombres secrets enfuis dans le sol. Profond sous la terre, entre les planches de bois, il y avait les murmures cachés du passé, des désirs, des fugues de chacun. Où l'on enterrait les promesses brisées, où les belles paroles résonnaient en un faible écho assourdissant. Où le silence régnait en maître face aux yeux clos. Où l'on préférait entretenir l'utopie du sang plutôt que l'infâme spectacle qui s'agitait. Comme un château de carte qui s'effondrait. La famille qui chutait.
Car il y avait de temps à autre, au-delà de cette vieille cabane de bois, au travers la cime des arbres, sa silhouette. Elle était si jolie, comme une brise d'hiver qui caressait la neige. Comme un murmure sur l'océan, c'était l'écho de sa voix qui résonnait en son cœur meurtri. En son cœur empli par les sœurs. Où il n'y avait plus de place pour un autre visage, un écart du rivage. Un paysage qui, en son esprit dessiné, en son esprit formaté, se mouvait en un autre homme. Un désir nouveau, une promesse nouvelle, un visage hanté par les marques. Une autre envie. Un étrange parfum d'amertume, qui s'échappait de son âme. Comme une étrange sensation de déjà-vu. Une pièce macabre, une comédie sanglante qui se l'animait.


Dernière édition par Braam Vostrikov le Ven 30 Oct - 9:28, édité 5 fois
Revenir en haut Aller en bas
Julian Blake
Julian Blake
— ADMIN ≡ Doctor of the Dead —
≡ avatar : luke mitchell
≡ inscrit le : 26/10/2015
≡ messages : 137
≡ métier : Infirmier
≡ quartier : judd height, immeuble du centre ville.
MessageSujet: Re: CAPITULATION. (BV)   CAPITULATION. (BV) Icon_minitimeJeu 29 Oct - 8:43

Han monsieur Ulliel red super choix de vava !!
Bienvenue sur OTD et bonne chance pour ta fiche :yaay:
Si tu as des questions, n'hésite pas hug
Revenir en haut Aller en bas
https://outofthedarkness.forumactif.org/t53-julian-living-like-we https://outofthedarkness.forumactif.org/t55-julian-we-paint-white-roses-red#108
Clara Moriarty
Clara Moriarty
— ADMIN ≡ Doctor of the Dead —
≡ avatar : daisy ridley.
≡ inscrit le : 27/10/2015
≡ messages : 215
≡ métier : étudiante à l'école de vétérinaire et assistante vétérinaire.
≡ quartier : elle vit chez ses parents au 266 northen road, north blackwood.
MessageSujet: Re: CAPITULATION. (BV)   CAPITULATION. (BV) Icon_minitimeJeu 29 Oct - 9:27

BIENVENUE SUR LE FORUM red Bonne chance pour ta fiche, si tu as des questions, n'hésite pas puppy
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
MessageSujet: Re: CAPITULATION. (BV)   CAPITULATION. (BV) Icon_minitimeJeu 29 Oct - 12:41

bienvenue parmi nous ! I love you
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
MessageSujet: Re: CAPITULATION. (BV)   CAPITULATION. (BV) Icon_minitimeJeu 29 Oct - 14:02

Merci pour votre bel accueil. puppy lilheart
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
MessageSujet: Re: CAPITULATION. (BV)   CAPITULATION. (BV) Icon_minitimeJeu 29 Oct - 18:35

Mon dieu ce pseudo me dit quelque chose, on s'est surement déjà croisés quelque part...
Je quitte le marais bourbeux de ma fiche pour te souhaiter la bienvenue. C'est définitif, je suis fan du pseudo !
Et que dire de cet avatar... Laisse moi te séquestrer dans ma cave ! fire
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
MessageSujet: Re: CAPITULATION. (BV)   CAPITULATION. (BV) Icon_minitimeVen 30 Oct - 8:54

Effectivement, oui. puppy Je te renvoie la pareille, le pseudo et l'avatar, c'est trop beau. fall god
Revenir en haut Aller en bas
Daisy Pendleton
Daisy Pendleton
— MEMBRE ≡ The lonely wolf —
≡ avatar : jenna louise coleman.
≡ inscrit le : 29/10/2015
≡ messages : 337
≡ métier : infirmière au blackwood psychiatric hospital. une folle parmi les fous. un comble.
≡ quartier : 701 judd height, center blackwood.
MessageSujet: Re: CAPITULATION. (BV)   CAPITULATION. (BV) Icon_minitimeVen 30 Oct - 10:01

Cette plume, ce personnage, cet avatar (GASPARD quoi bave)... Je suis fan. aon Garde-moi un petit lien au chaud, j'irai le réclamer quand je serai validée. héé Et puis bienvenue, au passage. diego
Revenir en haut Aller en bas
https://outofthedarkness.forumactif.org/t102-daisy-au-clair-de-la https://outofthedarkness.forumactif.org/t140-daisy-les-ames-lanternes
Felix Foster
Felix Foster
— ADMIN ≡ Doctor of the Dead —
≡ avatar : xavier dolan
≡ inscrit le : 24/10/2015
≡ messages : 928
≡ métier : professeur d'histoire au lycée de blackwood
≡ quartier : 016 woodstone lane, east blackwood
MessageSujet: Re: CAPITULATION. (BV)   CAPITULATION. (BV) Icon_minitimeVen 30 Oct - 10:02

C'est nickel pour moi calinou

félicitations, tu es validé(e) !
t'es trop swag kikou lol, tmtc bg !
High five gros, t'es officiellement validé(e) sur OTD ! C'est la classe,du coup, je te donne un premier conseil de survie :don't fucking move ! et puis si rien qu'en regardant le gif t'es complètement paralysé, c'est normal, c'est stressant quoi yay

Pour commencer tu peux aller vérifier dans le bottin des avatars, si on a pas oublié de rajouter ton avatar, si jamais c'est le cas, n'hésite pas à le signaler qu'on puisse régler ça au plus vite. Ensuite, les listings, si tu veux une maison passe chez notre agent immobilier et si tu as un job, tu peux le recenser par là.

Ensuite, si tu veux chercher des liens, c'est ici que ça se passe, faire une fiche de liens et passer dans celles des autres est essentiel pour l'intégration. Et puis, si tu veux un partenaire de rp, tu peux aller chercher dans ce sujet. Tu peux également faire un scénario par là en respectant le modèle et les règles, ça va sans dire. Le plus intéressant pour la fin, tu peux également venir flooder avec nous en faisant un tour ici ! N'hésite pas non plus à poster dans la fiche bazzart, un petit mot, ça fait toujours plaisir

Sur cette avalanche de liens, nous te souhaitons encore une fois la bienvenue parmi nous et sache qu'on t'aime déjà fort loove du coup, deuxième coseil de survie shoot pas les serrures c'est pas discret Arrow et encore moins juste après avoir renversé un bidon d'essence euh
VOILA ! Maintenant, à toi de jouer mon petit red
Revenir en haut Aller en bas
https://outofthedarkness.forumactif.org/t50-felix-pretending-we-r https://outofthedarkness.forumactif.org/t56-felix-god-i-wish-i-never-spoke#112
Invité
Invité
MessageSujet: Re: CAPITULATION. (BV)   CAPITULATION. (BV) Icon_minitimeVen 30 Oct - 10:04

Merci daisy, quel bon choix de scénario. fall
Et merci pour la validation felix, c'est du rapide ici, ça fait plaisir. mdr luv I love you
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
MessageSujet: Re: CAPITULATION. (BV)   CAPITULATION. (BV) Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

CAPITULATION. (BV)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
OUT OF THE DARKNESS :: 
Boom : butterfly effect
 :: Time to meet and greet :: Black Butterflies
-
Sauter vers: