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 whatever make us feel new {rowley

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Friedrich Shelley
Friedrich Shelley
— MEMBRE ≡ The lonely wolf —
≡ avatar : ben whishaw
≡ inscrit le : 08/11/2015
≡ messages : 68
≡ métier : professeur de littérature
≡ quartier : woodstone lane - house 164
MessageSujet: whatever make us feel new {rowley   whatever make us feel new {rowley Icon_minitimeDim 29 Nov - 18:33

whatever make us feel new
with rowley skelton
Il ne l'a pas vu venir, le dérapage. Il ne l'a pas entendu toquer à sa porte. Non, il a juste eu lieu sans crier garde. Il aurait certes pu s'en douter, mais l'amusant lui avait fait baisser sa garde. La situation lui avait glissé des mains, tout comme son portable avait failli rencontrer le sol à le lecture du nouveau message, il y a moins d'une heure. Il avait d'abord cru avoir mal lu, mais forcé de constaté que ce n'était pas le cas, il s'était pris les mots en pleine face, ou tout du moins cette adresse. Une simple adresse, suite de nombres et de lettres. Il ne s'y était pas attendu, pas ce soir en tout cas. Alors, il était resté perplexe face à l'écran nettement visible à travers ses lunettes. C'était clair. C'était une invitation. Il s'en est mordu la lèvre, retourné l'esprit. Il en a fait des pas, en rond, en long et large. Et puis il avait juste attrapé son manteau pour l'enfiler en vitesse, mettant dans ses poches ses papiers, clopes, briquet et clés. Il ne sait pas quand cela a déraillé, il n'en a clairement pas la moindre idée. Il y a eu tant de SMS plus stupides l'un que les autres ces derniers jours, tellement de non-dits ou de trop-dits. L'évidence qui a lieu, qui sonne à la porte. C'était prévisible, beaucoup trop prévisible pour qu'il l'ai prévu. Il reprend son téléphone en main, vérifie qu'il n'a rien de reçu de nouveau, rien qui ne montre un quelconque signe de blague. Pas de nouveaux messages; cela résonnerait presque comme un soulagement, alors que cela n'a pas lieu d'être. Il enfile ses chaussures alors que ce stupide chien tente de lui lécher le visage, comme pour attirer son attention. Tout ce qu'il obtient, c'est une rapide caresse sur le crâne, vite fait, bien fait. Il se relève, presque prêt à partir, prendre la route. Presque, parce qu'il lui manque quelque chose. Ses yeux l'ont déjà aperçu, ce bout de tissu. Fichu écharpe qu'il se doit de rendre, qu'il a gardé chez lui depuis des jours déjà.

Il aurait pu tenter de lui faire parvenir avant, mais l'envie n'y était probablement pas, si ce n'était l'esprit. Le mauvais souvenir de cet adolescent gênant lui était sans cesse revenu à l'esprit et il n'avait pas eu le cœur de chercher à revoir le blond, mais peut-être plus à l'esquiver. Et le voilà qui claque sa porte, la ferme à clé, prêt à partir dans la gueule du loup. L'étoffe, il l'a mis à son cou; autant qu'elle soit utile. Il prend en main de quoi ouvrir sa voiture, s'installant devant le volant rapidement. Ce n'est pas qu'il est pressé, mais l'hiver vient et rallonge la durée de la nuit, alors il se doit de garder ses verres sur le nez afin de voir clair, de ne pas écraser quelqu'un ou de louper un feu. Alors, il se dépêche afin de ne croiser personne, ou le minimum. Il ne prend même pas le temps d'allumer sa cigarette, ni même d'en sortir une, en fait. Il fumera plus tard, bien plus tard, car voilà, le contact est mis. La voiture part.

Il ne sait pas ce qui lui prend, Friedrich, à y aller ainsi. Il ne sait pas si c'est à cause de cette fichue promesse qu'il a fait. Il ne sait pas pourquoi il se sent obligé de la tenir. Il pourrait juste ignorer l'autre, au combien cela serait compliqué. Mais non. À la place, il semble préférer se prendre au jeu jusqu'au bout. C'est stupide. Cela n'a pas de raison d'être, tout comme leur relation. Il y a quelque chose qui semble avoir commencé à empoisonner leur haine respective, quelque chose qui l'intrigue, qui l'attire, tel une flamme qu'on allume. Appel sourd auquel l'instinct se voit obliger de répondre. Les noms des rues défilent devant ses yeux, c'est comme un décompte. La musique qui retentit dans la voiture ne semble même pas l'atteindre, bien trop concentré à ne pas louper le coche. Le bruit du clignant résonne comme celui d'une horloge. Il est arrivé. Il ne sait pas si cela lui a paru court, lui a paru long. Il sait juste qu'il a fait cette route. Maintenant, il a la tête entre ses mains, se demandant ce qu'il fait ici. C'est trop tard. Pas encore, il pourrait repartir, mais cela ne semble même pas envisageable. Alors il inspire un grand coup avant de sortir, fermer à clé, et se rapprocher de la porte de l'immeuble.

Il hésite à l’appeler sur son portable, mais n'est même pas sûr que le blond sache répondre à un appel. Il fait les vieux jeux, appuyant sur la sonnette en face du nom inscrit sur le papier. Rowley Skelton. Il a presque envie de déglutir, mais le bruit que la machine fait lui montre que c'est le moment pour lui de parler. Il ne sait pas vraiment quoi dire et se doute bien que ses mots seront stupides, mais il les prononce quand même, incapable de trouver – pour une fois – autre chose à sortir. Je suis là. Il n'est pas là, le ton hautain et certain de d'habitude. C'est plus quelque chose à moitié murmurer, plein de doutes. Parce qu'il n'est pas sûr qu'être venu soit une bonne idée. Il aurait dû trouver ne excuse, dire qu'il était occupé Il aurait dû l'esquiver un jour de plus; ils n'étaient plus à cela prêt. Il peut encore faire marche arrière. Il recule d'un pas, puis revient en avant. Il se mord la lèvre, l'air hésitant. Son regard se lève vers le plafond, puis vers la cage d'escalier visible à travers la baie vitrée. Intérieurement, il prie pour que personne ne le voit, il croise les doigts.
Il se sent presque mal d'être là.

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Rowley Skelton
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MessageSujet: Re: whatever make us feel new {rowley   whatever make us feel new {rowley Icon_minitimeMer 2 Déc - 2:01

whatever make us feel new
with Friedrich Shelley
Au départ, Rowley l’avait pensé sous le ton de la plaisanterie. Il avait tapé un rapide Viens sur le clavier tactile de son téléphone, avant de l’effacer puis de le réécrire, y rajoutant un smiley amusé. Mais il s’était surpris à le souhaiter, à imaginer Friedrich sur le palier de sa porte, ses curieux yeux verts inspectant l’intérieur de son appartement, piétinant le paillasson en attendant que Rowley ne l’invite à rentrer. Il l’aurait laissé inspecter l’endroit, comme un curieux chaton, puis aurait commencé à embrasser sa nuque, ravivant le suçon à peine guérit de la dernière fois. Dès lors, il avait simplement envoyé son adresse à l’autre professeur, attendant pour une quelconque réponse. Chaque vibration de l’appareil le faisait sursauter, impatient et nerveux. Mais pas une seule réponse de Friedrich. Sur le coup, il s’était mis à nettoyer, rassemblant les bouteilles vides derrière le canapé pour camoufler son addiction. Puis après plusieurs minutes, il avait simplement abandonné l’idée de rendre l’endroit décent. Au bout d’une demi-heure, il avait aussi abandonné l’idée de voir Friedrich débarquer. Pourtant, maintenant que l’interphone résonne dans l’appartement presque vide, il bondit sur le boitier ; La voix de Friedrich résonne l’autre côté de l’appareil et il ne peut pas croire que l’autre a fait le trajet pour le rejoindre. Son cœur s’emballe comme celui d’une adolescente à son premier bal de printemps et il décroche avec un peu trop d’enthousiasme.

« L’appareil est cassé, je viens t’ouvrir. »

Il raccroche aussitôt, claquant l’appareil contre son combiné et se dépêchant d’enfiler ses chaussures. Il imagine déjà Shelley, planté devant l’entrée, se dandinant avec cet air mi- embarrassé mi- agacé qu’il aborde toujours si bien. Comme s’il était en colère contre lui-même pour être gêné. Rowley ne savait même pas que c’était une chose avant sa rencontre avec le plus jeune. Pourtant, sa moue boudeuse et les joues rosies sont bel et bien réelles et il les connait un peu trop bien à son goût.

Depuis leur petit dérapage au lycée, ils ne sont pas adressé la parole une seule fois. Rowley sait que ces deux dernières semaines, Shelley cherchait principalement à l’éviter. Compréhensible, lui-même préférait s’éclipser de la salle des professeurs quand Friedrich y entrait. La situation avait stagné, comme si rien ne s’était passé, comme si leur arrangement n’avait jamais été mis en place. Il avait dû s’avouer un peu déçu de l’indifférence du plus jeune, de sa parfaite mascarade ; jaloux de sa façon d’agir comme si de rien n’était. Mais maintenant il sait que tout ceci n’avait été qu’un coup de théâtre, que si Shelley s’en était réellement foutu, il ne serait pas en bas de l’immeuble, à attendre qu’on lui ouvre.

La dégringolade des escaliers semble interminable. Il saute des marches, manque de trébucher à cause de son impatience enfantine, se rattrape in extremis à la rampe. Il a passé l’âge de ce genre d’acrobaties, pourtant il ne s’est jamais senti aussi jeune qu’à ce moment-là. Quand il arrive enfin au rez-de-chaussée, Friedrich est là, derrière l’immense baie vitrée de l’entrée, les lunettes perchées sur le bout du nez. C’est la première chose qui frappe Rowley : Friedrich a mis ses lunettes. Il ne l’a jamais vu avec ces-dernières et il ne peut pas s’empêcher de sourire. Parce que le plus jeune est adorable, caché derrière les épaisses montures, les yeux brillants distinguant sans doute la moindre de ses expressions. Il s’avance avec détermination et pousse la porte en verre , invitant l’autre professeur à rentrer. Le silence n’a pas le temps de s’installer que les lèvres de Rowley se mettent en route d’elles-mêmes pour bêtement déblatérer ce qu’il pense.

« Ça te va vraiment bien, les lunettes. »

Il lui a déjà dit lors de leur précédente entrevue, mais ces-dernières semblent être un tel complexe pour Shelley qu’il se sent obligé de le lui répéter, de lui assurer qu’il est toujours aussi beau avec sa paire de verres devant les yeux. Il toussote légèrement, gêné de son interaction inutile et de son compliment un peu trop sincère et enthousiaste. Sans un mot de plus, il invite Friedrich à le suivre dans la cage d’escalier. Il n’envisage pas l’ascenseur, celui-ci aussi étant en panne. Cet immeuble semble tomber en ruine depuis quelques semaines, mais c’est tout ce que peut se permettre Rowley avec son salaire. Il n’essaye pas de combler le silence qui plane entre eux deux, grimpant les marches deux à deux devant le plus jeune. Finalement, ils arrivent sur la porte entrouverte de chez lui et il pousse négligemment la porte, invitant le littéraire à pénétrer dans l’habitation.

« Home sweet home. » Murmure-t-il, plus pour lui-même que pour Shelley. « Fais comme chez toi. Tu veux quelque chose à boire ? » Ce n’est pas ça qui manque, pense-t-il amèrement alors qu’il ouvre le buffet du salon et tente de trouver quelque chose de pas trop fort à servir à son invité. Il cherche à rendre Friedrich confortable, pas à le saouler.


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Friedrich Shelley
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MessageSujet: Re: whatever make us feel new {rowley   whatever make us feel new {rowley Icon_minitimeMer 2 Déc - 16:54

whatever make us feel new
with rowley skelton
Il a eu ce sentiment que les secondes furent une éternité, entre le moment où il annonça sa venue et où la voix de l’autre résonna. Probablement fut-il lié au froid, synonyme de lenteur. Une partie du poids qu’il avait ressenti sur ses épaules disparu, alors qu’un autre le remplaça. Certes, il n’allait pas rester dehors comme il avait pu le craindre, mais il semblait désormais qu’il était destiné à rentrer dans cet immeuble, puis dans cet appartement, cet appartement, pour une raison qu’il ne connaissait que trop bien étant donné qu’il avait officiellement accepté les termes de leur arrangement. Parfois, Friedrich se haïssait de céder un peu trop facilement dans ce genre de situation. Si tout ceci n’avait pas eu lieu, diable, il aurait pu rester chez lui avec son stupide chien et n’aurait jamais mis les pieds ici, aurait continué de cracher sur Skelton à chaque fois qu’ils se croisaient, à se haïr encore et encore. Hors, parler avec lui avait changé sa vision de l’homme. Hélas, en quelque sorte, car il avait beau être une sorte d’ordure sur pattes, cela ne l’empêchait pas d’avoir des amis. Et avant d’entrer dans cette catégorie, le blond était déjà parvenu à la case connaissance ce qui était un grand bond au vue de l’année qu’ils avaient passé. Bond bien moins visible que celui que le brun manque de voir. Il a presque envie de sourire à cette vue enfantine que lui offre l’autre, mais se retient, gardant son regard bloqué sur lui, attendant de pouvoir entrer, quitter le froid de la nuit. Cette enflure, lui, prend le temps de sourire avant d’ouvrir. Si cela amuse plus Friedrich que cela ne l’énerve, cela reste un mystère. Il n’a pas le temps de se plaindre, ni de sortir sa main de sa poche pour taper contre la vitre, que la porte lui est déjà ouverte, à son plus grand soulagement. A peine passe t-il le seuil que la remarque attend ses oreilles. Il aurait pu les enlever, mais l’idée ne lui vient qu’à l’instant où les mots résonnent dans son esprit. Il se maudit presque, mais préfère répondre que de jurer. Ne prenez pas l’habitude de me voir avec, Skelton, c’était juste pour conduire. Le juste sonne faux, même dans sa bouche, car si cela était bel et bien le cas, il les aurait déjà enlevé, avant même que la portière n’eut claqué. Au fond, il avait probablement juste été désireux de voir l’univers dans lequel vivait l’autre, découvrir – comme cela n’allait pas tarder – l’habitat de son collègue.

Il n’a pas perdu l’habitude de le vouvoyer, ni même d’user de son nom de famille, mais l’autre en fait autant, si ce n’est qu’il ne le tutoie. C’est étrange, cela ne définit absolument pas leur relation, rendant les limites, les lignes encore plus floues que ce qu’elles ne sont déjà. Mais malgré cela, malgré cette incompréhension, il se permet de le suivre, de grimper les marches derrière lui, une par une néanmoins, en profitant d’abord pour regarder autour de lui l’état des lieux, avant que ses yeux ne se perdent sur le dos du blond, remontant à la nuque et aux cheveux, puis redescendant jusqu’au chaussure et s’arrêtant parfois, profitant de la clarté du monde à son regard. Un étage, puis un autre semble avoir été monté, et enfin il est face à la porte semi-ouverte de Rowley. Dernier moment pour fuir, semble lui souffler une partie de son esprit qu’il préfère ignorer. Il entre quand on l’invite, ne prêtant pas attention au murmure de l’autre, scrutant déjà les recoins du lieu à travers les glasses qui lui couvrent les yeux. Fais comme chez toi. Un rapide mouvement de ses lèvres lui arrache un sourire en coin; il a l’impression de sortir d’un bar et d’être arrivé chez sa cible du soir. Tu veux quelque chose à boire ? la suite logique des mots auxquels il répond toujours de la même façon. Une bière, si possible. Les origines allemandes qui se remarquent clairement à travers ces mots, ce goût pour l’alcool germanique. Il ne les a jamais niés, cela s’entend même dans son prénom qui est bien souvent mal prononcé. Il ne reprend même plus les personnes. Cela ne sert à rien.

Il s’aventure un peu plus dans les lieux, se disant que sa maison est quand même bien plus grande et sûrement mieux rangée. Il ne le dit pas, chacun à son chez soi, et sa propre maison n’est pas un palace. Il ne sait pas s’il doit dire quelque chose de gentil à propos de la décoration, mais se rappelle que cela ne fait plaisir qu’aux femmes. En fait, il ne sait même pas s’il doit parler, alors il se contente d’enlever l’écharpe autour de son cou et de la déposer sur le canapé. Je vous rend votre écharpe, au fait. Il ne sait même pas si l’autre l’avait remarqué, mais préfère le préciser, sait-on jamais; il n’aime pas garder les choses, n’aime pas devoir à d’autres. Il en profite pour s’asseoir, si ce n’est s’avachir, laissant au diable l’élégance et le style, se disant que de toute façon, personne ne peut le voir ici si ce n’est le propriétaire. Propriétaire qui n’a pas d’intérêt à faire ne serait-ce qu’une remarque là-dessus s’il ne veut pas voir le royal fessier du brun disparaître de l’appartement, bien plus vite qu’il n’est arrivé. Il ferme les yeux un instant avant de les rouvrir et de nouveau observer les lieux, remarquant quelques bouteilles vides d’ici et là. Charmant. Même ses mégots ne trainent pas ainsi dans sa demeure. Mais ce n’est pas ce qui attire le plus son attention. Non, ce qui capte tout son intérêt, ou du moins ce qui l’étonne le plus, c’est la présence de ce qu’il considère comme un étrange animal, soit un canari.
Et là, il ne sait pas s’il doit rire de la scène.

A la place, il penche sa tête en arrière, la tournant vers Rowley, le sourire aux lèvres, un semblant de baume de joie au cœur. Vous ne m’aviez pas dit que vous viviez en couple, Skelton. Petit pique de moquerie, non méchante. Juste quelques mots qu’il ne peut pas retenir de fuir de son esprit à travers ses lèvres. C’est plus fort que lui, il aime se moquer, le faire remarquer.

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