native route - mélanie - 18 ans

ft. andrew garfield - personnage inventé

fréquence de connexion : probablement tous les jours pays : france avis sur le forum : il est super, même que vous êtes pas gentils tellement il est trop bien (oui c'est très français comme phrase) avez vous des suggestions : nop! comment l'avez vous connu : top-site il me semble dernier mot :

« Laissez-moi entrer ! » Une femme, le visage strié de larme, se débat contre plusieurs infirmiers. L'angoisse et le manque de sommeil ont eu raison de sa lucidité. « Madame s’il vous plait, vous devez nous écouter. Votre fils souffre d’une leucémie, son système immunitaire est affaibli, et on ne veut pas risquer que vous lui transmettiez votre angine, il est déjà assez  faible comme ça. » Un homme arrive en courant, il est décoiffé, et il a l’air terriblement fatigué. Il la sépare du corps médical, et la prend dans ses bras. « Chérie, ça ne sert à rien, tu ne pourras pas le voir. C’est pour son bien. » murmure-t-il contre ses cheveux. « Mais Alfie… Il va bien ? » Monsieur Dewitt sourit légèrement. « Tu sais, il allait bien jusqu’ici, il regardait Retour vers le Futur. Je ne sais pas ce que ces films ont de si spécial, mais une chose est sure, il les adore, ça le détend. Mais je crois qu’il t’a entendu, il n’est plus si tranquille. » La mère sort de l’étreinte en reniflant, et se tourne vers l’équipe médicale. « Je suis désolée, mais vous savez, c’est mon bébé et… et… » Elle ne peut finir sa phrase, l’idée que le fruit de ses entrailles soit aussi malade lui fait terriblement mal, et les larmes se remettent à couler. Son mari lui frotte le dos et s’adresse au cancérologue. « Quelles sont… » Il déglutit. « Quelles sont ses chances ? » « Nous avons fait beaucoup de progrès en chimiothérapie, il a 90% de chances de survivre, suite à quoi il y aura 25% de risques de rechute. » « Ca… ça fait quand même… 10% ! » s’exclama la mère d’Alfie entre ses sanglots, avant de pleurer de plus belle. « Il faut pas y penser, Sally, tu sais très bien qu’Alfie est plus fort qu’il en a l’air. Il survivra. Je ne dis pas que ce sera facile, mais on sera là pour lui. Il a besoin de nous, et il a besoin de voir qu’on va bien. Allez, on va aller manger un bout, et puis se reposer un peu. On n’a pas beaucoup dormi cette nuit, pas vrai ? »
« Allez Alfie, il faut manger un peu. S’il te plait. » L’infirmière désespère. Ca fait deux jours que le petit refuse de manger. Il se contente de regarder par la fenêtre, sans un mot. Depuis que Lily est passée de l’autre côté. Elle était en phase de rémission, mais elle a fait une sévère rechute qui lui a couté la vie. C’était vraiment inattendu. Elle partageait la chambre d’Alfie, et ils s’entendaient à merveille. « Alfie. Alfie regarde moi. » Le garçon soupire, mais ne bouge pas. « Alfie tu dois continuer à te battre, pour Lily. Elle aurait voulu te voir guérir, j’en suis sûre. Si tu ne le fais pas pour moi, fais-le pour elle. Pour tes parents, qui veulent te voir courir dans leur jardin à nouveau. Pour le docteur, qui ne supporterait surement pas de perdre un autre de ses petits patients. Pour moi aussi, parce que tu es mon préféré, et que je sais que tu es le plus fort. Mais ne le dis pas aux autres. » Elle le fixe pendant quelques secondes. Au bout d’un certain temps, Alfie se redresse, et attrape la fourchette pour commencer à manger. « C’est bien, c’est très bien, on est tous très fiers de toi ici. » dit-elle calmement, en retrouvant le sourire.
« Madame, monsieur, j’ai le très grand plaisir de vous annoncer qu’Alfie est désormais débarrassé de 99,9% de ses cellules cancéreuses ! » George attrape la main de Sally et la serre très fort. Les deux ont les larmes aux yeux et sourient pleinement. Après six mois à regarder leur fils perdre ses cheveux, vomir à cause de la chimiothérapie, six mois à voir son état se détériorer dramatiquement, puis remonter comme par miracle, six mois de montagnes russes éreintantes, il est enfin guéri. « Merci, merci beaucoup docteur. » « Je suis content qu’Alfie s’en soit sorti. Cependant, il y a toujours ce risque de rechute, c’est pourquoi il devra passer un examen tous les deux mois pendant deux ans, puis tous les six mois jusqu’à la fin de sa vie. » Monsieur Dewitt hoche solennellement la tête. « Bien sur, nous n’y manquerons pas. »  
« Maman ! Papa ! » Le petit Alfie est apparu dans l’entrée du bureau et court rejoindre ses parent, pour monter sur les genoux de son papa. Ses cheveux ont commencé à repousser, et il commence peu à peu à reprendre des couleurs. « Hey Alfie ! Tu as entendu la nouvelle ? Tu es guéri ! Tu vas pouvoir quitter l’hôpital, retourner à la maison pour toujours. On reviendra juste de temps en temps pour qu’on soit sur qu’on a bien tué la méchante leucémie. On a gagné ! » Le garçon brandit les poings en l’air en signe de victoire. « Woohoo, vous êtes trop fort Doc ! » Car bien sur, il a fallu qu’il lui donne le surnom de son personnage favori, parce que le cancérologue est son héros, celui qui lui a sauvé la vie.
« Maman, ce n'est pas parce que tu pleures que je vais changer d'avis. J'ai 26 ans, il est temps que je fasse quelque chose d'un peu plus... aventureux. Mais tu sais, je serai dans une université où ils étudient aussi la médecine, et puis il y a un hopital pas loin. Je pourrai faire mes check-up là-bas aussi. Bon, ce ne sera pas le doc, mais au moins je ne serais pas en danger. » « Mais Alfie, il y a des gens qui disparaissent, là-bas! Et s'il venait à t'arriver la même chose, je... » Le jeune homme soupire. « Ces gens faisaient de la randonnée dans les bois. Est-ce que j'ai une tête de randonneur? » Son père rit légèrement. La mère regarde son fils quelques instants, comme si elle considérait sérieusement la question, puis secoue la tête. « Tu vois. Allez. Il faut que j'y aille si je veux pas rater mon avion. » Alfie serre une dernière fois ses parents dans ses bras, puis disparaît dans la file qui se dirige vers le point d'embarquement.
Une bonne dizaine d'heures plus tard, il posera enfin le pied sur le sol canadien, et il lui faudra encore quelques heures de plus pour arriver à Blackwood. Sa première pensée sera pour Lily. T'as vu, Lily, j'ai réussi. Je suis parti loin, comme on s'était promis de le faire. On avait rêvé de montagnes, de neige, de froid, aussi de plages et d'îles désertes, mais ça je le garde pour plus tard. La retraite, surement, ou un voyage de noce. Alfie essuiera une larme qui aura réussi à s'échapper, et inspirera un grand coup, se sentant enfin prêt à écrire une nouvelle page de son histoire.

High five gros, t'es officiellement validé(e) sur OTD ! C'est la classe,du coup, je te donne un premier conseil de survie :don't fucking move ! et puis si rien qu'en regardant le gif t'es complètement paralysé, c'est normal, c'est stressant quoi  

Pour commencer tu peux aller vérifier dans le bottin des avatars, si on a pas oublié de rajouter ton avatar, si jamais c'est le cas, n'hésite pas à le signaler qu'on puisse régler ça au plus vite. Ensuite, les listings, si tu veux une maison passe chez notre agent immobilier et si tu as un job, tu peux le recenser par là.

Ensuite, si tu veux chercher des liens, c'est ici que ça se passe, faire une fiche de liens et passer dans celles des autres est essentiel pour l'intégration. Et puis, si tu veux un partenaire de rp, tu peux aller chercher dans ce sujet. Tu peux également faire un scénario  par là en respectant le modèle et les règles, ça va sans dire. Le plus intéressant pour la fin, tu peux également venir flooder avec nous en faisant un tour ici ! N'hésite pas non plus à poster dans la fiche bazzart, un petit mot, ça fait toujours plaisir  

Sur cette avalanche de liens, nous te souhaitons encore une fois la bienvenue parmi nous et sache qu'on t'aime déjà fort   du coup, deuxième conseil de survie shoot pas les serrures c'est pas discret    et encore moins juste après avoir renversé un bidon d'essence  
VOILA ! Maintenant, à toi de jouer mon petit